Panopticum feminin

 

Avec les participants au workshop hebdomadaire "Méthode de l'acteur"

Création 2010/2011

 

https://vimeo.com/40207299/171140a918 

 

Textes de Sarah Kane, Xavier Durringer, Howard Barke ou François Zeller côtoient Anton Tchekhov, Jean Cocteau ou Nick Cave.

 

Huit femmes s’abandonnent et parlent avec sincérité de moments de leur vie. Elles dansent leurs désillusions, leur envie d’enfant, les blessures d’une vie passée à s’oublier.

 

Elles crient leur manque de mots, leur envie de happy end, de cadeaux de mariage et de muffins au petit déjeuner. Puis elles racontent leurs mensonges, comment elles n’acceptent plus la main levée, l’enfermement ou les diners suicidés. Elles vous ouvrent les portes d'une prison qui enferme les blessures d'une femme qui n'a plus l'avantage de l'âge pour retenir l'homme qu'elle aime, d'une femme qui, enfermée chez elle a pour seule compagnie son frigidaire qui fait des glaçons sphériques, une femme qui, blessée comme un animal, lutte pour ne pas laisser entendre sa tragédie.

 

Trois hommes les soutiendront et les accompagneront. Tour à tour amant jaloux, mari désenchanté, douce oreille, ils se laissent guider, non sans réticence ou sans blessures parfois, dans l’intimité de ces créatures.

 

Panopticum féminin c’est la liberté de dire, de pleurer ou de rire.

© Christophe Neel
© Christophe Neel

 

Die Kreation Panopticum Féminin ist das Ergebnis des wöchentlichen Workshops “Méthode de l‘acteur” – 2010/2011.

 

Das Hauptaugenmerk des Workshops lag auf dem Bereich Tanz-The- ater, oder wie Worte und Emotionen die Bewegung führen. Wir fragten nach dem möglichen Zusammenhang zwischen den antiken Chören und sozialen Gruppen.

 

Die Gruppe entschied sich die Figur der Frau heraus zu arbeiten. Zeit- genössische Texte von Sarah Kane, Xavier Durringer, Howard Barker und François Zeller gehen einher mit den Texten von Anton Tschekhov, Jean Cocteau und Nick Cave.

 

Acht Frauen schütten ihr Herz aus und sprechen mit Aufrichtigkeit über entscheidende Phase ihres Lebens. Sie tanzen ihre Enttäuschungen, ihre Kinderlust, ihre Wunden eines früheren Lebens, dass sie versuchen zu vergessen. Sowohl als, Sklavin, Herrin, oder Mutter, diese Frauen kämpfen gegen auferlegte Muster.